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Les dégradations des bus du Groupe TEC

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2018
  • N° : 1494 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 11/07/2018
    • de WAHL Jean-Paul
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings
    Combien de bus du TEC sont-ils tagués chaque année ?

    Y a-t-il des différences entre les différents TEC de la région ?

    Quel est le budget annuel dédié au nettoyage de ces tags ?

    De manière plus générale, quel est le budget annuel dédié au vandalisme dans les bus ?

    Une protection particulière ou certaines mesures peuvent-elles être prises pour limiter les risques de tags sur les bus ?
  • Réponse du 08/08/2018
    • de DI ANTONIO Carlo
    Vingt extérieurs de véhicules sont en moyenne tagués chaque année. Il s’agit principalement de trams à Charleroi. À Liège, quelque 150 intérieurs de remorques des véhicules articulés sont visés annuellement. Dans les autobus des autres régions, il n’y a presque plus de tags, et ceux-ci sont de suite enlevés lors du cycle de nettoyage du véhicule.

    Le budget annuel global dédié au nettoyage de ces tags se situe à +/- 40 000 euros.

    De manière plus générale, le budget annuel global du vandalisme dans les bus avoisine les 200 000 euros. Outre les graffitis, le vandalisme nocturne avec bris de vitrage est la principale source d’ennuis. Les différentes implantations territoriales de l’OTW ont déjà pris les mesures suivantes afin de limiter les risques de vandalisme sur les bus :

    - augmentation de la surveillance des dépôts et de la sécurisation des installations ;
    - le nettoyage régulier des bus démontre aux voyageurs que le matériel est entretenu ; cela n’incite donc pas à taguer les véhicules ;
    - utilisation de revêtements anti-graffiti.