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Le label "Bienvenue vélo"

  • Session : 2018-2019
  • Année : 2018
  • N° : 121 (2018-2019) 1

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  • Question écrite du 17/12/2018
    • de PREVOT Patrick
    • à COLLIN René, Ministre de l'Agriculture, de la Nature, de la Forêt, de la Ruralité, du Tourisme, du Patrimoine et délégué à la Grande Région
    En 2016, à l’occasion du thème Wallonie à vélo, Monsieur le Ministre a souhaité valoriser et étendre le label « Bienvenue vélo » à toute la Wallonie.

    À la fin de cette année 2016, ce label avait été attribué à plus de 500 opérateurs touristiques wallons, ce qui représente une hausse de 200 unités par rapport à la situation enregistrée avant le lancement de l'année thématique 2016 « La Wallonie à vélo ».

    À ce jour, Monsieur le Ministre peut-il faire le point sur le nombre de labels attribués depuis son lancement ? Ce nombre a-t-il encore fortement évolué après l’année thématique « La Wallonie à vélo » ? Y a-t-il des régions en Wallonie plus représentées que d’autres ?

    Au fil du temps, certains opérateurs ont-ils perdu ce label ? Si oui, peut-il en préciser les raisons ?
  • Réponse du 07/01/2019
    • de COLLIN René
    Outre l’existence d’un réseau d’infrastructures cyclable efficient et en pleine croissance, la qualité de l’offre en matière de vélotourisme réside également dans la capacité des opérateurs touristiques à accueillir les cyclistes.

    C’est dans cette optique que le label « Bienvenue vélo » a vu le jour en 2011 afin de répondre aux besoins spécifiques de ce public cible en adaptant les services et les équipements chez les opérateurs touristiques.

    Il est certain que l’année à thème 2016 « La Wallonie à vélo » et la coordination du label par le Commissariat général au Tourisme (CGT) ont réellement donné une impulsion positive au label.

    Avec près de 500 opérateurs à la fin 2016, nous comptons à ce jour près de 620 labellisés répartis dans toute la Wallonie.

    Certaines régions ont une concentration d’opérateurs plus élevée qui s’explique par la présence de réseaux cyclables plus aboutis, tels que les réseaux points-nœuds en Wallonie Picarde, Pays de Famenne ou le long de certains RAVeL et itinéraires Eurovélo.

    Peu d’opérateurs ont perdu le label, environ une vingtaine depuis fin 2016.

    Les raisons sont principalement liées à la cessation de leur activité ou à l’attente de reconduction de leur autorisation par le CGT.