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La crémation

  • Session : 2018-2019
  • Année : 2019
  • N° : 180 (2018-2019) 1

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  • Question écrite du 18/03/2019
    • de STOFFELS Edmund
    • à DE BUE Valérie, Ministre des Pouvoirs locaux, du Logement et des Infrastructures sportives
    Depuis 2012 et sur l’ensemble du pays, ce mode de funérailles a pris le dessus par rapport à l’inhumation. C’est surtout grâce à la Flandre et à la Région Bruxelles-Capitale qui ont toujours une longueur d’avance sur la Wallonie.

    Soixante-et-un pour cent des Belges décédés ont été incinérés en 2018 contre 60 % en 2017.

    Suite à cette tendance, de nouveaux crématoriums ouvrent chaque année.

    Si l’on fait une extrapolation de la tendance observée actuellement sur un laps de temps d’une quinzaine d’années, de combien d’unités devra-t-on augmenter la capacité d’incinération ?

    Et suivant quelles localisations ?
  • Réponse du 03/04/2019
    • de DE BUE Valérie
    Effectivement, comme l’honorable membre le souligne, les statistiques montrent une augmentation croissante de la crémation depuis plusieurs années.

    Actuellement, les structures abritant les établissements crématoires semblent suffisantes pour faire face, dans des délais raisonnables, aux demandes de crémation.

    Il m’est impossible de pronostiquer l’évolution de la demande en la matière et, en tout état de cause, la création de nouveaux crematoriums est attachée aux compétences de mon collègue, en charge de l’environnement.

    Je souhaite néanmoins souligner que des réflexions sont en cours à différents niveaux de compétences afin de faire évoluer la Wallonie au niveau des modes de sépulture.