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Asphaltage et projet de piste cyclable de la ligne 38.

  • Session : 2005-2006
  • Année : 2006
  • N° : 102 (2005-2006) 1

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  • Question écrite du 14/03/2006
    • de JEHOLET Pierre-Yves
    • à DAERDEN Michel, Ministre du Budget, des Finances, de l'Equipement et du Patrimoine

    Le 4 juillet 2005, en Commission de l'Aménagement du territoire, du Patrimoine, des Transports, de l'Equipement et de l'Energie, j'avais interrogé Monsieur le Ministre quant au projet d'asphaltage de la ligne 38 sur le tronçon entre Hombourg et Herve. Lors de cette séance, Monsieur le Ministre m'avait confirmé que sa volonté était de rejoindre la demande des bourgmestres des communes concernées en proposant un revêtement stabilisé pour cette ligne.

    Actuellement, où en est ce projet de revêtement stabilisé ?

    Monsieur le Ministre peut-il nous indiquer à quel stade sont les travaux d'entretien de la ligne ?

    Qui prendra en charge le coût de ces travaux ? Monsieur le Ministre a-t-il un accord de participation financière de la part des bourgmestres concernés ?
  • Réponse provisoire du 29/03/2006
    • de DAERDEN Michel


    J'informe l'honorable Membre que j'ai sollicité mon administration afin d'obtenir des informations précises en réponse à sa question.

    Je ne manquerai pas de lui faire parvenir une réponse définitive dès que ces renseignements m'auront été communiqués.
  • Réponse du 24/04/2006
    • de DAERDEN Michel

    Que l'honorable Membre me permette avant tout de nuancer quelque peu son affirmation selon laquelle je me serais engagé à rejoindre la demande des communes de voir la ligne 38 asphaltée.

    Mes propos au Parlement le 4 juillet 2005 étaient les suivants :

    « La ligne 38 Hombourg-Herve est actuellement aménagée en itinéraire RAVeL, avec un revêtement en cendrées d'une grande qualité.

    Je note qu'en effet les commues d'Aubel, de Herve, de Plombières et de Thimister souhaitent que cette ligne soit asphaltée. Toutefois, de nombreuses personnes sont satisfaites de la situation actuelle qui serait le résultat d'un consensus obtenu à la fin d'un long débat.

    Force m'est de reconnaître que je ne perçois pas bien la thèse que vous défendez. Toutefois, je suis d'accord avec le fait que l'on organise une nouvelle consultation dans le cadre de la nouvelle définition du RAVeL que j'ai donnée : à savoir aller en partie vers un revêtement stabilisé (au lieu d'un revêtement en cendrées) et favoriser la participation des communes. Il faudrait d'ailleurs estimer à quelle hauteur elles pourraient investir dans le coût de ces travaux ».

    Après plusieurs concertations menées ces derniers mois avec les différents acteurs concernés, je suis au regret d'en conclure qu'une majorité d'entre eux souhaitent en rester au revêtement actuel.

    Je n'envisage dès lors pas une intervention à brève échéance, mais reste ouvert dans les prochains mois à la poursuite des réflexions dans ce débat.